A...Saint Valentin, suite (et fin ?)

Après les échanges avec Tubuai les jours précédents, et alors que je m'accordais un peu de bulle en attendant que refroidisse ma tasse de café, lorsque soudain, une illumination : je le tenais, mon destinataire ! Quelques instants de délire, un peu d'auto-plagiat (de Réutilisation dirions nous en informatique) et voici le résultat :

A Tubuai

Quoi ! Vous n’acceptâtes point
Que je m’enferme dans la complaisance dérélictive,
La revendication élégiaque,
Dans le ton sinon la forme,
(Hellas, Hellas, Hellas,…)
D’un esseulement sombrement revendiqué
M’ôtant le plaisir de la noirceur gratuite,
Ces quelques vers libres, auto-plagiés sans vergogne,
Surgis impromptu alors que refroidit un mauvais café
Je les dédie à cette pulsion tâtillonne,
Qui nous valut un fructueux échange
Et, ma foi,
Puisque la « synthèse passive » s’est faite muse
Donnant à mon clavier un second souffle
Soyez ce jour mon valentin littéraire,
Vous l’avez bien mérité !

PS : Tubuai dont le blog est ici, se trouve pratiquer aussi la course à pieds, qui décidément semble un sport assez compatible des pulsions littéraires...

[Edit] Et de constater que j'ai écrit deux trucs cette semaine, moi, avec cette histoire...Pire qu'au boulot !